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Chypre veut plus de casinos terrestres

Chypre, une possibilité d’élévation des interdictions sur les établissements des jeux, une idée du président qui veut optimiser les recettes fiscales.

Une situation économique précaire incite le président Nikos Anastasiades à prendre au mot son voisin Pierre Moscovici. Il veut sortir l’État de cette situation en se tournant vers les revenus des casinos terrestres. Le mot est dur, la Chypre a été désignée d’avoir une économie de casino par le ministre de l’Économie française le jour du 24 Mars.  Un secteur bancaire pointé du doigt d’avoir des revenus faciles. Cependant, ce président chypriote est en cours de négociation auprès de la Troika sur les formalités pour l’obtention d’une aide s’élevant à 10 milliards d’euros. Au même instant, celui-ci suggère l’idée de revoir la loi sur l’interdiction des casinos dans un objectif de recevoir plus de touristes.
L’île d’Aphrodite reste interdite aux jeux d’argents et des casinos par une loi depuis son indépendance, en 1960. En effet, c’est l’Église orthodoxe qui fait la pression sur ce sujet, interdisant formellement les jeux dans le pays. Or, dans un contexte où le monde évolue et s’adonne de plus en plus à la technologie et à la civilisation, il est clair que les casinos devraient prendre une place importante autant dans l’économie que dans le contexte social. Dans le nord de l’île par contre certains établissements connaissent du succès. Une partie qui est marquée par la forte présence de l’armée turque depuis 1974. Le juriste Christos Ionnades fait remarquer que nombreux sont les touristes qui y viennent pour jouer. Il précise que les casinos sur le web localisés dans le sud sont très rentables alors qu’ils sont illégaux, les chiffres s’élèvent à plusieurs milliards d’euros.

Attirer plus de touristes

Cette idée de lever les interdictions sur les casinos était bien affichée dans le programme de campagne de ce président nouvellement élu. Avec cette notoriété d’économie de casino, elle se présentait comme une exception alors que dans l’Union européenne, la plupart des pays autorisent sans contestation cette activité : une réalité plus ou moins étonnante parce que légaliser les jeux pourrait contribuer fortement aux recettes fiscales substantielles de l’Ile et ainsi augmenterait de manière considérable le nombre de touristes chaque année. Le président chypriote a évoqué récemment plusieurs points notamment dans son « plan de croissance ». La question sur les casinos en faisait partie, un sujet que la Troïka n’a pas sur le coup rejeté. D’ailleurs, un porte-parole du gouvernement avait précisé que Nicosie avait conclu un protocole d’accord avec ses créanciers ; un accord qui mentionnait précisément que le remboursement des prêts de l’île devrait commencer dans dix ans, pour une durée de douze ans et avec un intérêt de 2,5%. La Troïka a été tolérante étant donné que l’impôt avait augmenté sur les sociétés. De ce fait, elle avait accordé deux ans de plus à Chypre afin de gérer son déficit. Il reste à savoir si le projet aura vraiment un aboutissement positif étant donné que dans les autres pays, la légalisation des jeux attire justement de plus en plus de touristes. Cela est même devenu un produit touristique de haut niveau.

Casino de Saint-Trojan sur l’ile d’Oléron

2012 est l’année des pas vers la concrétisations des projets de casinos dans les petites villes françaises. Pour Saint-Trojan, le choix du délégataire du service public du nouveau casino a été enfin effectué le 20 décembre dernier. Commune française située dans l’île d’Oléron, il s’agit d’une ville paisible mais qui est avide de divertissements et de jeux comme les casinos. Projet longtemps décidé par le conseil municipal, sa concrétisation s’avère prometteur en cette fin d’année.

Le futur casino qui va être implanté à Saint Trojan se nommerait «Casino Arévian » et « rêve » pour le peuple de Saint Trojan. C’est le groupe Arev finance qui va gérer l’établissement. Ce groupe opère déjà pour 6 autres casinos en Auvergne. Projet qui date de plus de quinze ans, la création d’un casino dans la ville est une histoire peu commune. Pendant des années, le projet a été l’objet de plusieurs obstacles et pourtant, le maire de la commune, Pascal Massicot est convaincu de son utilité pour la population et pour le développement économique.

Le début du projet remonterait en mai 1997. Ce n’est pourtant qu’en 1998 que le projet aura un premier avis favorable. Des avis favorables oui mais aussi des rejets dont la ministère d’intérieur serait le premier à le faire. Malgré tout, les démarches pour concrétiser le projet sont en route le 6 juin 2000. C’est la première procédure qui, apparemment a échoué. Le 17 août 2004, une troisième procédure a été entamé. Le conseil municipal a retenu le groupe Emeraude en 2005. Plusieurs associations ont été pourtant contre et ont eu recours au conseil municipal, d’où l’annulation des «  permis de construire. Mais la population de Saint Trojan est plus que jamais déterminé à construire leur casino. En 2009, 1800 signatures ont été effectuées par l’association des commerçants. La pétition a été déposée au maire, pétition qui a eu certainement des résultats puisque le conseil municipal s’est remis à considérer le dossier. En effet, 25 emplois générés, ce n’est pas rien. Le combat effectué pour avoir un casino a été lourd, il y avait des hauts et des bas, des obstacles surtout, des pour et des contre émanaient partout.

C’était seulement en cette fin d’année 2012 que le nouveau délégataire a été choisi. Le combat n’est pas encore fini. Rappelons que le projet du futur casino rapporterait des atouts financiers considérables pour la commune de saint Trojan, aux alentours de 100 000 euros par an mais il contribuera également à créer environ 25 emplois dans la ville. 50 machines à sous seront installées dans le casino avec une table de boule et une table black jack. Les travaux commenceront en 2014 et finiront en 2015.

Il reste à savoir si les procédures vont aboutir parce que même si le délégataire a été choisi, les étapes ne sont pas encore toutes franchies. Les permis de construire sont encore sous la décision de la Commission nationale des jeux.

Archevêque de Canterbury: les paris sont ouverts

Le 21 mars 2013 sera intronisé le nouvel Archevêque de Canterbury. Des noms circulent, et chose tout à fait inhabituel, des paris sont même organisés sur l’identité de celui qui dirigera l’Eglise Anglicane. Il faut reconnaître un certain engouement outre-Manche pour cet événement qui tient à cœur de nombreux adeptes. Ainsi, le nombre des parieurs a subitement augmenté en peu de jours tout comme les sommes mises en jeu, ce qui intrigué les bookmakers. En effet, la grande majorité des paris se sont portées sur une seule personne : Justin Welby.

Cet homme qui est depuis novembre 2011 Archevêque de Durham (poste très élevé au sein de l’Eglise Anglaise) n’a pourtant pas le profil habituel d’un homme de Dieu. Il est marié et père de 6 enfants. Après de brillantes études et une carrière réussie dans l’industrie pétrolière, Justin Welby a toujours ressenti une profonde attirance pour Dieu et sa foi a toujours guidé sa vie. Cela s’est confirmé au décès de sa fille où cette terrible épreuve qu’il a dû surmonter en famille l’a rapproché indéniablement de Dieu. L’homme qui est titulaire d’un diplôme de théologie s’est toujours dévoué corps et âme pour prêcher la bonne parole. Il est réputé pour savoir parler aux jeunes et leur tendre une oreille attentive, ce qui attire cette nouvelle catégorie de population qui, pour certains, se trouvaient très éloignés de la religion. Justin Welby n’a jamais regretté son choix d’abandonner sa carrière et un salaire impressionnant pour se consacrer pleinement à sa foi. Tous les postes qu’il a occupés au sein de l’Eglise ont confirmé son attachement pour la religion. Grâce à son parcours professionnel et à sa connaissance de l’Afrique, en particulier du Nigéria où il a exercé en qualité de médiateur durant la guerre civile, Justin Welby bénéficie d’un savoir-faire exemplaire.

Avec tous ces atouts Justin Welby fait donc figure de favori dans le poste très convoité d’Archevêque de Durham. Mais les bookmakers Ladbrokes, William Hill et Betvictor qui ont été surpris par l’embrasement des paris ont préféré suspendre les paris début novembre car ils soupçonnent une fuite de la part de certains membres de l’Eglise Anglicane. Il est fort probable qu’une enquête soit ouverte dans les prochains jours. Cela permettra de savoir si ces soupçons sont fondés ou si les bookmakers craignent tout simplement pour leurs finances.

Projet de création d’un casino à Vannes

La réouverture du dossier concernant le projet de création d’un casino à Vannes a ouvert des discussions au niveau des casinotiers et des autorités. Au niveau des autres casinos voisins qui ont longtemps redouté ce projet. Suite à la décision du maire David Robo sur la reprise du dossier, les casinotiers font leurs propres études sur la rentabilité du projet et sur ses impacts vis-à-vis des chiffres d’affaires des autres casinos. La bousculade sur la conservation de sa part de marché s’annonce. Laurent Lassiaz président du groupe de Joa annonce que si ce projet se réalise, il y aura de réels impacts sur le casino d’Arzon.

Le maire d’Arzon ne semble pas trop s’en inquiéter avec sa question : « Y aura-t-il des morts ? ». Effectivement, presque la moitié des joueurs au casino d’Arzon sont des Vannetais, il est fort probable que ces derniers reviennent à Vannes dans le cas où la mise en place du casino se réalise. Même avec une progression du chiffre d’affaires depuis l’année dernière, le casino d’Arzon sera en difficulté, suite à la réalisation de ce projet.

De l’autre côté, le maire David Robo est très enthousiaste pour le projet. Il souhaite pour le casino diverses activités avec des salles de jeu, des restaurants et des salles de spectacles. Ceci avec une exigence précise : la qualité des équipements. C’est une décision prise avant tout pour favoriser la situation de la commune de Vannes au moyen des flux financiers qui peuvent y circuler. Cela également pour arriver à attirer les investisseurs dans la commune.

La crainte s’installe au niveau de la commune d’Arzon, si le projet se réalise est-ce que le groupe Joa restera ou est-ce qu’il optera pour l’abandon ?
Le pire reste à venir, c’est en 2018 que prend fin la délégation de service public, Joacasino n’a pas garanti qu’il restera et c’est ce qui entraine le doute chez le maire d’Arzon. Toutefois, la décision est encore auprès du ministère de l’Intérieur qui délivre les autorisations d’exploitation des jeux et des casinos. La soumission des candidatures pour être gestionnaire ne se fait qu’à partir de ce moment. Les casinotiers étudient chacun de leurs cotés l’envergure de ce nouveau marché. Les concurrents que l’on peut identifier pour le moment sont Joa et le SBEC (Société bretonne d’exploitation des casinos). L’analyse de quelques financiers montre que le marché n’est pas extensible du fait que la part de marché se divise entre les casinos et les pertes des uns vont juste renflouer les bénéfices des autres. C’est le même gâteau qui est juste partagé avec un nouveau casino.

Le choix du gestionnaire se fera le 14 décembre, les financiers ont hâte de savoir quel groupe obtiendra le marché. Ce casino sera implanté au centre du Parc du Golfe, tout près de l’hôtel Mercure pas loin de la gare maritime et du parc des expositions. Un endroit en plein centre qui attirera le maximum de clients. Le maire de Vannes prévoit la venue des visiteurs étrangers et des touristes ainsi que des joueurs du monde entier. Ces derniers pourront profiter au maximum des loisirs et des activités offertes par le projet.

Perte de vitesse des casinos terrestres belges

La Belgique qui regroupe 4 casinos dont le casino de Spa, Namur, Chaudfontaine et Dinant sont les derniers à hisser le drapeau blanc. En effet, les directeurs des casinos cités précédemment ont communiqué que le montant des taxes et des impôts à payer est trop élevé. Cela leur a causé une perte de 2,2 millions d’euros pour l’année 2011. Avant cela en 2010 la perte était de 1,5 million d’euros et l’année 2009 ils ont connu également une perte s’élevant à 1,1 million d’euros. Cette situation est également appuyée par une baisse des pourboires à un montant de 3,5 millions d’euros. Est-ce que les joueurs sont devenus avares ? Ou est-ce que c’est vraiment l’effectif des joueurs qui diminue ?

Cela reflète la crise financière mondiale, elle touche tous les domaines sans exception. Si l’on revient à l’année 2005, le montant des impôts payé par les casinos s’élevait à 6,9 millions d’euros. Les casinos payent aujourd’hui le double de ce montant. Les casinos wallons ne peuvent échapper à l’effet de cette crise qui persiste et qui touche réellement le portefeuille de ses clients.

La concurrence est rude pour ces casinos terrestres belges dument appelés traditionnels. En effet, les casinos et les jeux en ligne deviennent en vogue actuellement. Tout le monde y court et cela neutralise les casinos traditionnels dans leurs recherches permanentes de bénéfice. Les défis que relève l’avancée de la technologie font des concurrents qui auparavant ne présenter aucun risque pour ces derniers. Aujourd’hui, jouer sans se déplacer est possible, et en plus de cela, l’interdiction de fumer dans les salles de jeux a de plus enlever de quelque peu une partie de la liberté des joueurs. Et cela démotive également certains joueurs. Ces obstacles restent défavorables aux casinos wallons et bruxellois.

Emmanuel Mewissen déclare alors : « La situation reste extrêmement périlleuse pour les casinos belges, surtout pour les casinos wallons et bruxellois ». « Extrêmement périlleuse » une déclaration qui marque que les casinos sont à bout dans leurs situations. Les pertes augmentent, alors que les charges fixes doivent être payées sans équivoque.  «Nos chiffres d’affaires continuent d’être corrects, mais nous avons une masse de personnel que nous devons rémunérer avec de l’argent qui est déjà taxé à 44 %. Ce n’est plus possible ». Un appel à l’État pour dire que cela dépasse les limites. Devant cette crise financière qui touche presque tous les États, chaque Autorité essaye de son mieux pour trouver la solution idéale afin de sortir le pays de la crise. Une des options reste « augmenter les taxes et les impôts ». Une solution qui s’applique surtout aux jeux en salle et aux casinos. Les dirigeants des casinos n’apprécient pas trop cette décision. À qui profite cette décision ? Ce qui est sûr c’est que nombreux dirigeants de casinos sont découragés et démotivés par cette solution. L’initiative d’apporter une solution à la crise par l’augmentation des taxes et des impôts créer un nouveau problème au niveau des casinos. Pour les Belges c’est précis une perte de 2,2 millions d’euros. Alors la question se pose problème ou solution ?

Casinos: l’image de Macao se ternit

Pendant de longues années, Las Vegas a conservé sa première place mondiale dans le domaine des jeux. Mais Macao a réussi à détrôner largement la ville de tous les succès, alors que ses détracteurs ne prédisaient à cette ancienne colonie portugaise qu’une brève durée de vie. Avec l’ouverture du marché des jeux d’argent en 2001, alors qu’ils sont interdits en Chine, Macao a fait le pari – qui est aujourd’hui gagné – de créer des complexes de jeux gigantesques. De nombreux investisseurs étrangers n’ont pas hésité à y investir, comme c’est le cas du groupe Sands qui a inauguré en avril dernier sa toute dernière création : le Sands Cotai Central. Ce complexe de jeux comprend des hôtels, des centres commerciaux et de conférence, des casinos…  Sheldon Adelson qui est à la tête de ce groupe est déjà propriétaire de nombreux complexes de jeux à Las Vegas. Il a immédiatement flairé les opportunités que Macao offrait et n’a pas hésité à investir près de 4,5 milliards de dollars.

Son marché des jeux d’argent est en plein essor et l’an dernier le nombre de touristes a atteint les 28 millions. En 2010, la croissance a enregistré un bond de 70 % et les années suivantes s’annonçaient encore plus belles. Malheureusement, les estimations prévoient un ralentissement d’environ 15 % dans les prochains mois. Ceci est principalement dû au fait de la crise mondiale mais également en raison d’une baisse de fréquentation des gros joueurs chinois qui représentent près de 70 % des revenus. Cette catégorie de joueurs s’est retrouvée dès 2008 confrontée à des mesures restrictives des visas qui ne leur permettaient pas de se rendre aussi souvent qu’ils le souhaitaient à Macao.

Macao a donc pris l’initiative de s’adresser à des gens moins fortunés et de diversifier son offre. Des spectacles sont ainsi organisés régulièrement afin de répondre aux demandes des familles. Malgré tous ces efforts déployés, Macao est encore pointé du doigt car on l’accuse d’être une plaque tournante pour le blanchiment d’argent et la prostitution. Des règlements de comptes font même régulièrement les premières pages.

Macao a réussi en très peu d’années à conquérir la première place mondiale des jeux d’argent. Après avoir été tant convoité, il semble que l’opinion publique change radicalement, même si les chiffres restent malgré tout encourageants.

Nouvelle roulette au M Resort : Double Action Roulette

Depuis que la roulette a été créée au début du XVIIème siècle en Italie, elle n’a connu que de légères transformations. Ce jeu de hasard très prisé par les joueurs du monde entier connait un engouement tout particulier à Las Vegas. Cette cité des jeux qui affiche des résultats inquiétants ces dernières années a été très échaudée par le fait de perdre la première place mondiale dans le domaine des jeux d’argent qui lui avait permis d’acquérir une renommée internationale. Mais Las Vegas n’a pas l’intention de rester les bras croisés et compte bien occuper de nouveau sa place de leader des jeux, loin devant Macao. C’est la raison pour laquelle les établissements implantés à Las Vegas redoublent d’imagination pour attirer les clients.

La dernière innovation en date est la métamorphose de la roulette traditionnelle. Dorénavant appelée Double Action Roulette, cette dernière comprend 2 roulettes qui tournent dans les sens opposés. Ainsi le joueur peut miser deux fois. Mais le plus surprenant, c’est que la table comprend également un Side Bet qui permet de multiplier la mise par 1 200 lorsque des numéros gagnants identiques sortent sur les 2 tables. Le premier établissement au monde à proposer cette nouveauté est le M Resort SPA Casino. Richard Fitoussi, le vice-président du Marketing International de ce complexe de jeu, est à l’origine de cette innovation qu’il a brevetée. Ce français a eu l’ingénieuse idée de révolutionner le monde des jeux en créant un nouveau genre de roulette.

Cette nouveauté marque un tournant décisif dans le monde des jeux car jusqu’à présent les jeux traditionnels n’avaient jamais connus de changements aussi importants. Peu de personnes ont pris le risque de proposer de nouvelles technologies dans cette catégorie de jeux, et Richard Fitoussi semble avoir pris la bonne décision en se lançant sur ce marché. D’après les premiers échos, la Double Action Roulette connait un succès certain qui risque d’augmenter considérablement grâce au bouche-à-oreille. Il est fort probable que cette nouvelle machine s’exporte dans de nombreux établissements de jeux du monde entier.

Les jeux vidéos disposent de sites de paris en ligne

Les jeux en ligne connaissent un certain succès en particulier auprès des 18-25 ans. Cette population est très attirée par les jeux en général, mais ce sont surtout les paris sportifs et le poker qui sont les jeux les plus prisés par cette catégorie de personnes. C’est ainsi que les opérateurs de jeux ont eu l’ingénieuse idée d’élargir leur offre aux adeptes de jeux vidéo qui n’avaient pas jusqu’ici leur place au sein des jeux sur internet. Le principe est simple : le joueur parie sur sa victoire. Il lui suffit de se connecter sur le site de jeux sur internet et de choisir le jeu sur lequel il veut se mesurer à son adversaire. Après avoir trouvé son concurrent, les deux joueurs déposent leurs mises et le jeu peut alors commencer. A la fin de la partie, le gagnant empoche la mise des deux joueurs.

Le site multeegaming.com, jeune start-up française, propose déjà des jeux variés et connait un succès certain qui risque d’augmenter dans les mois à venir. Les passionnés de jeux vidéo ont à présent la possibilité de s’adonner à leur passion tout en gagnant de l’argent. Ils peuvent se mesurer à un adversaire ou participer à des tournois ce qui fait augmenter les mises de manière importante. Ce type de paris est innovant puisque les joueurs parient sur leur propre performance. Les joueurs risquent de s’entrainer encore plus pour devenir des joueurs hors pair et remporter le plus de partis possibles.

L’ouverture de cette nouvelle catégorie de jeux en ligne entraine néanmoins un vent d’inquiétude car elle touche principalement la jeune population. Ces joueurs peuvent rester des heures devant les écrans à jouer à leurs jeux préférés et sont susceptibles de tomber facilement dans l’addiction. D’autant plus qu’il est à présent question de gagner de l’argent. Il est fort à parier que cela motivera encore plus les jeunes à jouer. Multeegaming est conscient que des dérives peuvent arriver c’est la raison pour laquelle le site a mis en place un encadrement stricte ainsi qu’un système de protection des joueurs.

Magic Casinos Jackpot empoché au Joacasino de Gérardmer

Les établissements de jeux font grise mine depuis quelques années. Le taux de fréquentation est en baisse et les joueurs diminuent leurs mises en raison d’un pouvoir d’achat très affaibli. Face à cette situation préoccupante, les casinos n’ont pas hésité à investir afin de redorer leur image. Mais l’innovation qui a le plus relancé l’activité du secteur des jeux est la connexion de très nombreuses machines installées dans toute la France. Ainsi, en 2009, le « Magic Casinos Jackpot » a été lancé dans une centaine de casinos français, dont 35 appartenant au groupe Barrière, 17 au Joagroupe de Laurent Lassiaz, 16 au groupe Tranchant, 6 au groupe Emeraude et 21 casinos indépendants. Le principe est simple : une cagnotte progressive est alimentée par l’ensemble des mises de 300 machines à sous situées sur l’ensemble de l’hexagone. 

Depuis la mise en place du Magic Casinos Jackpot, de nombreux jackpots ont été remportés. La plus belle somme d’un montant de 9 420 902 euros a été empochée le 28 mars 2011. Mais depuis ce week-end un nouveau Jackpot a été gagné. L’heureux gagnant est reparti du Casino Joa de Gérardmer avec l’incroyable somme de 5 875 836 euros. Ce dimanche 6 mai à 2h25 un homme âgé de 49 ans et originaire des Vosges a tenté sa chance sur une machine à sous et a misé 1,50 euros, tout juste un quart d’heure avant la fermeture du casino. Le chanceux gagnant était sous le choc et pensait à ses deux enfants qu’il allait aisément pouvoir gâter.

Le Directeur du Joacasino de Gérardmer est venu féliciter le gagnant. Son établissement compte 84 bandits manchots dont deux sont reliées au Magic Jackpot. Avec une telle publicité le nombre de joueurs risque d’augmenter dans les semaines à venir mais le dirigeant est confiant puisqu’il sait  que le Magic Jackpot affiche d’ores et déjà au compteur 2 010 909 euros.

Un gagnant du jackpot dilapide sa fortune aux jeux

Les établissements de jeux ont pour fonction première de divertir leurs clients qui viennent passer un agréable moment tout en tentant leur chance. D’importants investissements sont chaque année effectués afin de satisfaire les demandes des clients. La majorité de ces maisons de jeux a ainsi diversifiée son offre en installant des restaurants, des salles de spectacles… de manière à répondre aux attentes des joueurs.
Néanmoins, les dirigeants des casinos sont tout à fait conscients que certains joueurs peuvent facilement tomber dans l’addiction. Le personnel des établissements de jeux est donc régulièrement formé pour détecter les personnes qui risqueraient de devenir dépendantes des jeux.  Les joueurs eux-mêmes ont même le droit de demander à être interdit d’accès dans les casinos s’ils estiment que le jeu est devenu une drogue. Ce fichier national l’empêche donc d’entrer dans toutes les salles de jeux françaises.

La Suisse adopte les mêmes mesures de prévention que la France. Toutefois, cela n’a pas empêché un joueur Autrichien de poursuivre le Grand Casino de Saint-Gall. Cet homme avait remporté en 2005 un énorme jackpot progressif d’un montant de 3,5 millions de francs suisses. En l’espace de six ans, ce joueur a dilapidé sa fortune au sein de ce même casino notamment dans les tables de blackjack. Il aurait ainsi dépensé jusqu’à 100 000 francs suisse en l’espace d’une demi-heure, et aurait même, selon ses dires, laissé au total pour 250 000 francs suisses de pourboires. Il estime que le Casino était parfaitement conscient de son addiction aux jeux. Ses fréquentes visites, les sommes importantes qu’il jouait tout comme sa consommation excessive d’alcool auraient dû alerter les dirigeants qui n’ont pourtant rien fait. A l’inverse, il était reçu avec tous les honneurs et des tables de jack-black lui étaient exclusivement réservées.

L’homme espère à présent que sa position de victime sera reconnue et que son épouse et ses enfants pourront percevoir les 250 000 francs de dommages qu’il réclame.