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Le fisc vise les joueurs de poker italiens

Le fisc italien est parti en guerre contre les joueurs de poker en ligne italien qui n’ont pas déclaré leurs gains. En effet, depuis 2009, tout joueur italien jouant dans des salles de poker en ligne qui n’a pas de licence en Italie se doit de payer 20% de taxes des gains gagnés dans des rooms sous extension .com. Afin de renflouer les caisses de l’état, le gouvernement italien a décidé de rappeler à l’ordre les joueurs de poker en ligne italien qui n’ont pas déclaré leurs revenus. Ainsi, le fisc réclame à un joueur italien de payer la coquette somme de 1,6 million d’euros car ce joueur a joué depuis 2007 dans une room illégale. Ce joueur imprudent s’est fait attraper par le fisc italien qui a décelé des virements bancaires douteux de son propre compte en banque vers un compte à l’etranger. Ces opérations financières ont alerté le fisc qui a immédiatement réagi en adressant au joueur de poker en ligne un redressement fiscal en bonne et dûe forme.

Ce cas n’est pas isolé puisque de nombreux joueurs et parieurs en ligne devraient être également dans le collimateur du fisc tifosi afin de faire respecter le devoir civique de chacun en payant des impôts. L’Italie cherche des moyens de renflouer les caisses de l’état qui sont vides et dont les agences de notations ont baissé la note du pays. Silvio Berlusconi a été poussé à la démission pour la gestion de la crise calamiteuse mais également pour les Unes dans la presse people sur sa vie privée.

L’Italie a légalisé le jeu en ligne plusieurs années après d’autres pays européens comme Malte et la Grande-Bretagne. Ainsi, le casino en ligne, le poker et pari sportif sont légaux en Italie et les opérateurs doivent payer des taxes au gouvernement pour recevoir la licence de jeu. L’AAMS (équivalent de l’Arjel en Italie) travaille main dans la main avec l’Arjel et elles coordonnent des actions car leur marché est quasiment similaire. En effet, la France et l’Italie ont ouvert leurs marché et s échangent des informations à une différence près: l’Italie a statué sur le sort de casino en ligne qui est entièrement légal alors que la France a légiféré sur le poker, pari sportif et course hippique mais pas sur le casino en ligne. Faut dire que la France est un des pays ayant le plus de casinos terrestres au monde contrairement à l’Italie qui compte très peu de casinos en dur sur son territoire.

Les jeux en ligne connaissent un réel succès en Italie de par la simplicité d’accès et de l’offre complète mise à disposition des joueurs. Tous les ingrédients sont réunis pour se divertir en toute légalité et que ce soit des jeux de casino, poker ou paris sportifs, les joueurs italiens ont une palette de jeux mis à leur disposition. Plus besoin de se déplacer pour s’asseoir à une table de poker ou jouer à une machine à sous ou un jeu traditionnel, il est désormais possible de jouer de chez soi dans les meilleures conditions possible et le tout parfaitement sécurisé.

Les tribus indiennes veulent leurs casinos en ligne

Les Etats-Unis étudient scrupuleusement la question des jeux d’argent en ligne. Jusqu’alors réfractaires, les Etats tendent aujourd’hui à modifier leur positions. Ainsi, le Massachusset a présenté au Sénat un projet de loi, et l’Iowa compte bien régulariser le marché des jeux. Il en est de même pour le New Jersey et le Nevada qui établissent également un projet visant à légaliser les jeux en ligne.

Mais lorsqu’on parle des Etats-Unis, on a tendance à oublier la population indienne. Ces tribus bénéficient d’un droit exclusif, puisqu’elles ont été autorisées à ouvrir des casinos terrestres. Elles espèrent à présent qu’elles pourront aussi ouvrir leurs propres enseignes de jeux d’argent en ligne. Mais, certains dirigeants de ces tribus sont très septiques. Ils affirment que les propriétaires d’établissements de jeux vont mener une course acharnée afin d’obtenir l’aval du Congrès, ce qui leur donnerait la possibilité d’occuper le marché avant leurs concurrents.

Les indiens présentent une menace pour les casinotiers. Ces derniers craignent de se voir détrôner par cette population qui n’a rien à apprendre en matière de jeux. En prenant une longueur d’avance, les propriétaires des maisons de jeux espèrent s’imposer sur le marché. Robert Odawi Porter, le Président de la nation des Senecas va même plus loin et y voit une manière de détruire leurs tribus indiennes. Il revendique haut et fort leur droit de s’imposer sur le marché tant prometteur des jeux en ligne. Ils ont d’ores et déjà l’intention de mettre sur pied leurs propres sites en ligne et prendre leur part du gâteau.
La légalisation des jeux en ligne risque d’entraîner de nombreuses divergences au sein de la population et des opérateurs des jeux.  La perspective d’occuper ce marché si attractif va à coup sûr créer une véritable polémique. Mais tout cela ne risque-t-il  pas d’augmenter la différence de traitement qui existe entre les blancs et les indiens ?

Macao, destination prisée des investisseurs et des touristes

Macao a le vent en poupe ces dernières années. L’ancienne colonie portugaise attire en effet de plus en plus d’amateurs de jeux et se positionne ainsi  sur la première marche des destinations phares. Pour la seule année 2011, le chiffre d’affaires des établissements de jeux a enregistré une hausse de 58 %. Parmi la clientèle, les chinois et les russes se déplacent en masse pour s’adonner à leur passion ou tout simplement pour passer un agréable moment.

Pour répondre à la demande et maintenir une activité florissante, les complexes de Macao sont toujours plus pharaoniques. Les investissements dépassent pour certains les 2,5 milliards de dollars. Le dernier en date, est l’Hôtel Banyan Tree. Ce luxueux hôtel 5 étoiles qui a coûté 2 milliards de dollars comprend de nombreuses suites, lesquelles disposent de leur propre bassin de relaxation, et chaque villa possède sa piscine et son jardin. L’établissement s’adresse à une catégorie de touristes aisés qui n’hésitera pas à payer au prix fort un confort hors du commun.

Les dirigeants des complexes hôtels-casinos sont parfaitement conscients que Macao est le nouvel eldorado, c’est la raison pour laquelle les plus grands groupes hôteliers affluent en masse pour s’y installer. Le très renommé groupe Hilton prévoit ainsi de construire une centaine d’établissements d’ici 2014, tout comme le groupe Continental qui souhaite y implanter un quart de ses futurs hôtels.

Après la France et les Etats-Unis, Macao est la destination de choix des touristes. Les investisseurs rivalisent d’imagination pour mettre sur pied des complexes prestigieux afin de se dénoter des autres établissements. Cet engouement pour Macao est en réalité similaire à celui qu’a connu Las Vegas. Il semblerait que l’heure de gloire de la Ville de tous les excès soit à présent révolue et que Macao connaisse un succès encore plus phénoménal.

Des chinois vendent leurs enfants pour le casino en ligne

Les opérateurs de jeux essaient par tous les moyens de prévenir les joueurs contre les risques d’addiction. Ainsi, de gros moyens financiers sont déployés afin d’éviter que le jeu devienne source de problème et que les joueurs n’entrent dans un véritable système d’engrenage. C’est la raison pour laquelle la majorité des sites de jeux en ligne emploient des professionnels qui sont à l’écoute des joueurs compulsifs pour leur venir en aide. Même si les joueurs ont la possibilité de demander leur auto-exclusion, il reste un nombre important de joueurs qui ne demandent pas à faire partie de cette liste. Ils ne prennent pas conscience qu’ils sont des joueurs addictifs, et entrent donc dans une spirale infernale.

C’est le cas d’un couple chinois, originaire de la ville de Dongguan, qui a commis l’horreur pour pouvoir continuer à jouer en ligne. Agés tous deux de moins de 21 ans, ils se sont rencontrés dans un cybercafé. Leur passion pour le jeu ne les a jamais quitté, même quand leur premier enfant a vu le jour en 2008. Sans aucun remord, ils laissent l’enfant seul à leur domicile pour se rendre au cybercafé qui se trouve à une trentaine de kilomètres. Un an plus tard, leur second enfant naît, et ils n’ont pas les moyens financiers de subvenir à leurs besoins. C’est alors que leur vient l’idée atroce de vendre cet enfant, non pas pour nourrir le reste de la famille, mais pour continuer à jouer en ligne. Contre la modique somme de 325 euros, ils n’hésitent pas à donner leur fille.

Malheureusement, l’histoire ne s’arrête pas là… Le couple perd de plus en plus d’argent dans les sites de jeux en ligne, ce qui le conduit une fois encore à vendre l’ainé de leurs enfants. Mais cette fois, ils obtiennent 3 250 euros. Immédiatement, le jeune couple chinois comprend que vendre ses enfants est une rente financière importante, c’est la raison pour laquelle ils décident de faire un troisième enfant qui sera à son tour vendu contre une somme identique. Une fois alertées, les autorités chinoises ont immédiatement arrêté le couple qui a reconnu avoir mis au monde des enfants dans le seul but de les vendre.

Ce fait divers horrible, n’est pourtant pas le seul. L’an dernier un couple sud-coréen a été inculpé car ils s’occupaient à longueur de journée d’un bébé virtuel sur un jeu en ligne, et de ce fait  ils avaient laissé mourir de fin leur bébé de trois mois.

Ouverture des jeux en ligne : l’heure est au bilan

Juin 2010 a marqué l’ouverture à la concurrence des jeux en ligne. Ce marché a entraîné la convoitise de nombreux opérateurs qui voulaient coûte que coûte obtenir l’agrément délivré par l’Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (Arjel). Mais très peu d’entre eux n’ont pu obtenir la licence leur permettant d’occuper le marché en toute légalité. Effectivement, ils ne sont que 36 opérateurs à détenir une cinquantaine d’agréments : 25 pour le poker, 17 pour les paris sportifs et 8 pour les paris hippiques.

Après tout juste une année écoulée, l’heure est au bilan. D’après les estimations de l’Arjel, plus de 10 milliards d’euros ont été misés sur le marché français. Les paris sportifs représentent 741 millions d’euros. Parmi les sports les plus prisés, le football vient en tête avec 57 %  des mises, suivi du tennis qui occupe un quart des mises. Suivent ensuite le basket-ball, le volley-ball… Avec la coupe du monde de football, les paris sportifs ont très bien démarrés, mais l’attrait s’est malheureusement essoufflé au cours des mois suivants. Les paris hippiques ont aussi diminué au cours du deuxième semestre ce qui n’est pas sans déplaire au PMU qui conserve son monopole.

Ces chiffres laissent pourtant transparaitre une réalité beaucoup moins idyllique, puisqu’on observe que l’engouement des joueurs est en nette diminution. En effet, après  un premier semestre encourageant (plus de 290 millions d’euros misés), une diminution de près de 35 % marque le second trimestre.
Le poker en revanche se porte bien puisque les mises ont dépassées les 7 milliards d’euros et qu’on observe une stabilisation du marché. Cela est principalement dû au fait que ce cercle de jeux est très prisé des joueurs et le nombre d’adeptes est en constante augmentation. Le montant des droits d’entrées représente 962 millions d’euros, ce qui laisse présager que le poker a encore de beaux jours devant lui.

Jean-François Vilotte, le Président de l’Arjel, est très satisfait de la stabilisation du marché des jeux en ligne. Il affirme que l’ouverture du marché a permis de réguler le marché.

La loterie espagnole souhaite faire son entrée en bourse

Le Gouvernement espagnol est sur le point de mettre en bourse environ un tiers du capital de sa loterie nationale : Loterias y Apustas del Estado. Cette opération d’envergure pourrait rapporter entre 6,5 et 7,5 milliards d’euros, puisque la valeur de  cette société est estimée à 21 milliards d’euros. Cette capitalisation permettrait ainsi à la LAE d’entrer dans l’un des indices boursiers espagnols, mais également de se positionner devant le géant américain des établissements des jeux : le Las Vegas Sands.

La LAE a donc décidé de se rapprocher de quatre banques – le Groupe Goldman Sachs Inc, le Crédit Suisse AG, JP Morgan Chase & Co et UBS AG – afin de mettre en vente 30 % de ses parts. Cette décision importante a été prise afin de réduire le déficit public espagnol, pour rassurer les marchés internationaux et pour renflouer les caisses de l’état. Tout comme son voisin portugais, et comme la Grèce, l’Espagne s’est endettée, ce qui a fait déserter les éventuels investisseurs. Le Gouvernement espagnol est pourtant très confiant dans ce projet, étant donné que la LAE est une société sûre qui bénéficie d’une réputation irréprochable. A noël, la loterie réalise à elle seule un quart de son chiffre d’affaires annuel. Les espagnols vénèrent ce tirage et mettent un point d’honneur à se réunir en famille afin de découvrir les numéros gagnants.

Juan Serrano, le porte-parole de la LAE, souligne que pour le moment rien n’est officiel, et qu’il faudra encore attendre quelques mois afin de voir émerger cette opération. En Espagne, de grands groupes souhaitent introduire leurs parts de marché en bourse. C’est le cas de Bankia qui est le regroupement de 7 banques, qui espère ainsi en tirer plus de 4 millards d’euros.  La Telefonica SA, la plus grosse entreprise de téléphonie hispanique, est l’exemple même d’une vente réussie : elle a pour sa part déjà vendu une partie de sa filiale Atento Inversiones & Teleservicios SAU et a empoché 745 millions d’euros. De quoi entraîner une véritable ruée des sociétés vers une privatisation boursière …

Incertitude sur l’avenir du Casino Bagnères-de-Luchon

Le Tribunal de Commerce de Toulouse doit se prononcer ces jours-ci sur le sort du Casino Bagnères-de-Luchon. Ce petit établissement de jeux situé en Haute-Garonne a été contraint de fermer ses portes depuis le 24 mai dernier. Le placement en liquidation judiciaire de son gestionnaire, la Société Nouvelle d’Exploitation du Casino, est le fait d’un déficit de plus de 400 000 euros.

Le Directeur de l’établissement, Francis Giraud, n’a pas hésité à faire appel. Il se dit satisfait que toutes les parties aient pu s’exprimer librement. Tout comme les représentants des salariés qui ont été autorisés à exposer leur point de vue. Ils ont expliqué que sur les 14 personnes qu’emploie l’établissement, deux licenciements économiques ont été acceptés. Cette mesure permet une économie sur deux ans de 350 000 euros. De plus, les membres du conseil municipal ont accepté de venir en aide à la maison de jeux, en baissant la taxe sur les jeux de 15 % à 1 %, ce qui représente tout de même une économie de 100 000 euros sur deux ans. Malgré tout, l’heure est au pessimisme.

La fermeture de cet établissement aurait des conséquences désastreuses sur le tourisme de cette région. Réputée pour sa station thermale, Bagnères-de-Luchon offrait, grâce à son casino la possibilité pour les touristes ainsi que pour les habitants de venir se distraire. Cet établissement proposait en plus de ses 40 machines à sous, des jeux de Boule, Roulette Anglaise et Blackjack. Il disposait également d’un piano-bar, d’un restaurant, d’un théâtre, et organisait tout au long de l’année des thés dansants ainsi que des spectacles. Bagnères-de-Luchon est très inquiète quant à l’avenir de sa commune. Elle espère que l’établissement de jeux ouvrira ses portes au plus vite afin de relancer l’activité. Dans le cas contraire, il faudrait qu’une délégation de service public soit lancée rapidement afin de trouver un nouvel acquéreur. Le sort des salariés du casino est aujourd’hui entre les mains de la Cour d’Appel : même si ils sont tous en possession de leur lettre de licenciement, ils espèrent que le jugement sera favorable au Casino de manière à reprendre leur service.

Le casino Perla (serbie) attire les joueurs italiens retraités

Nous vivons depuis quelques années dans un climat de crise mondial. Les salariés se plaignent de voir fermer leurs usines, ceux qui ont la chance de conserver leur emploi n’arrivent plus à joindre les deux bouts en raison d’un pouvoir d’achat bas. Les retraités sont eux aussi touchés et certains n’arrivent même pas à s’alimenter. Alors, ils se mettent à rêver d’une vie meilleure et n’hésitent pas à tenter leur chance dans les jeux de loterie.

Mais le phénomène commence à inquiéter les autorités chez nos voisins italiens, puiqu’ils se déplacent jusqu’en Slovénie pour tenter leur chance dans les établissements de jeux. L’engouement des retraités est tel, que des opérateurs ont flairé l’opportunité de s’enrichir en organisant de véritables excursions. Ainsi, l’agence de voyage Furgytour affrète 4 fois par mois un bus grand luxe qui les emmène dans l’un des plus grands casinos d’Europe : le Casino Perla. Moyennant 15 euros par personne, le retraité n’a pas à se soucier de quoique ce soit. Le voyage, le repas et l’assurance sont compris dans ce forfait. Si ce prix est si attractif, c’est parce que les opérateurs négocient directement avec les maisons de jeux. Il faut dire que tous ces joueurs représentent une manne financière très importante. Les dirigeants de ces casinos sont conscients que ces retraités peuvent jouer l’intégralité de leur retraite, voire plus. Ils se retrouvent dans un environnement où tout est étudié pour leur faire dépenser toujours plus. Dès leur entrée dans le casino, une « Privilege Card » leur est offerte, ce qui leur donne droit à plus de gains, de jeux et donc plus de privilèges. Certaines machines à sous sont accessibles pour les petits budgets avec des mises à un centime d’euros.

A deux heures du matin les retraités doivent se réunir pour prendre le chemin du retour. Contrairement à l’aller, le silence est pesant. On comprend aisément que leurs rêves ne se sont pas réalisés et qu’ils repartent sans le sou. Espérons seulement qu’ils n’ont dépensé que le budget qu’ils s’étaient fixés.

Christophe Claret et sa montre casino

Le Blackjack est un jeu de cartes très prisé dans les établissements de jeux. Il comprend de très nombreux adeptes à travers le monde et certains ne s’y sont pas trompés en développant une très large variété de ce jeu. Avec l’ouverture des jeux en ligne, les joueurs peuvent depuis juin dernier jouer en toute légalité de chez eux à toute heure, de jour comme de nuit. C’est cet engouement pour ce jeu qui a donné l’idée à Christophe Claret, très célèbre horloger de renommée mondiale, de créer la toute première montre au monde qui permet de jouer au blackjack, à la roulette et au craps.
Imaginez un peu la prouesse technologique de ce petit bijou :  

– Pour jouer au blackjack, la partie inférieure du cadran offre plusieurs emplacements où sont situées les cartes (2 visibles et 2 cachées). La partie supérieure, en revanche, est consacrée au croupier (1 visible et 2 cachées). Ce jeu bénéficie même d’une sonnerie.
– Pour jouer au craps, vous disposez d’une paire de dés de 1,5 mm de côté qui sont logés dans la case 4 heures.
– Pour jouer à la roulette, il vous suffit de retourner la montre pour voir apparaître un véritable plateau tournant. Une flèche remplace la bille, et il suffit d’effectuer quelques mouvements pour la voir s’arrêter sur un chiffre compris entre 0 et 36.

Cette montre vendue 250 000 dollars, a été éditée en 21 exemplaires seulement. Elle a nécessité 501 composants, et sa complexité justifie son prix élevé. Outre de l’or jaune et de l’or blanc, la montre comprend des diamants, des rubis, des émeraudes et des saphirs. Le bracelet est quant à lui en peau de reptile.

Il est certain qu’avec la vente de cette montre, Christophe Claret conforte sa place dans le monde de l’horlogerie de très haut de gamme.